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Biographie

Emerik Malandain, baryton franco-suédois, reçoit les enseignements de chanteurs  et chanteuses de renom tels que Gilles Cachemaille, Tom Krause, Damon Nestor Ploumis, Rachel Sparer Bersier ou encore Antonio Carangelo.

Il perfectionne également  son interprétation auprès  de grands pianistes comme Dalton Baldwin.

Conscients de son potentiel, plusieurs organismes le soutiennent  dans son développement, tels que l’Académie musicale de Villecroze ou le Lyric Opera Studio de Weimar où il a été boursier.

En 2013, il est finaliste du concours international Antonin Dvorak de Karlovy Vary et en 2014,  il est

demi-finaliste du concours international Opéra en Arles.

Ces engagements professionnels l’ont amené à chanter sous la baguette de chefs tels que Philippe Bender, Olaf Storbeck, Oliver Weder, Frantisek Drs, Gonzalo Martinez, Pierre Trefeil, Jean-Marie Curti, Sébastien Brugière, Natacha Casagrande ou encore Jonathan Griffith dans différents pays  comme la France, la Suède, l’Allemagne, la République Tchèque ou la Suisse où il a collaboré avec l’opéra studio de Genève et le Grand Théâtre.

Ainsi, il collabore avec des ensembles reconnus tels que l’Orchestre de chambre de Genève, l’Orchestre de chambre de Lausanne, l’Orchestre des musiciens d’Europe, l’Orchestre de la Suisse romande, l’Orchestre symphonique de Karlovy Vary ou celui de Rudolstadt.

A l’opéra, il interprète des rôles tels que le comte Almaviva dans Les Noces de Figaro, Guglielmo dans Così Fan Tutte, l’orateur dans La Flûte Enchantée, Don Giovanni, le policier dans Le Consul de Gian Carlo Menotti, le docteur Grenvil dans la Traviata de Giuseppe Verdi, le monarque et la voix du dragon dans les Enfants du Cristal de Jean-Marie Curti ou encore Wagner dans Faust de Charles Gounod.

Il affectionne autant la musique sacrée et interprète des oeuvres variées telles que Carmina Burana de Carl Orff, le Te Deum et la Messe en ré d’Atonin Dvorak, Messa di gloria de Puccini, le Te Deum de Haydn, le Kemptener Te deum de Franz Xaver Richter, le Dixi Dominus de Jan Dismas Zelenka, Missa Sacra de Robert Schumann,  De Profundis de Michel-Richard Delalande, le Requiem de Gabriel Fauré et celui de Camille Saint Saëns, la Messe en sol de Schubert, la magistrale Symphonie n°8 de Gustav Mahler, le Requiem de Brahms ou encore The Bards of Wales de Karl Jenkins.

On a pu aussi l’entendre en concert de gala avec l’orchestre symphonique de Thuringe

 Saafeld-Rudolstsadt en Allemagne, avec celui de Karlovy Vary en République Tchèque ou encore au palais de la noblesse suédoise à Stockholm  accompagné du pianiste Magnus Svensson.

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